mardi 25 novembre 2014

Parfois

Je peux m'élever
du sol et du ciel
là-bas, quand l'infinit rougit
bifurquent aussi
des pupilles adrénalines.
Elles sont perdues
en capturant des scènes
adhérées à mon dos.
Mais seulement parfois.

Je peux défiler
sur la corde d'une guitare
au même temps,
il fusions les noyaux
de l'arbre et d'une cigarette.
En traçant des paysages
qui n'importent pas
à la fin de la nuit
je saute aéré.
Mais non, d'autres fois.

Je cours en sentant
inébranlable mon corps
alors, ta brise tiède
manque sur mon cou.
De mes propres nutriments
une juste mesurée.
Je lève un rugissement de rien
sur l'hampe des foules.
Bien que, un peu de fois.

Je suis un ignorant
qui croit avoir tout entendu
pendant que je marche
en brouillant une haine.
Je répands des précédentes recherches
dans mes rapports cliniques.
Je dérange des vibrations
en m'obscurcissant au maximum.
Je ne sais pas combien de fois.

Moi, je suis en imbécile
et je crache des mensonges
par offenser à la vérité.
J'établis des relations lointaines
à mon système solaire,
je porte parfois mon peau
et chausse mes pieds
Je sous-estime la valeur
des mauvaises idées.
Tout compte fait,
nous sommes comme ça, parfois.

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